Résume | J'expliquerai comment les travaux récents d'Arthur et une propriété ``d'irréductibilité générique'' pour les représentations galoisiennes sur ces variétés de Hecke permettent de généraliser un résultat de Taylor décrivant l'image des conjugaisons complexes par les représentations galoisiennes attachées aux représentations automorphes cuspidales, algébriques, régulières et autoduales du groupe linéaire sur un corps de nombres totalement réel. |